NORTH TROPHY 2008

Résumé du week-end par Djipègue...

Le sentiment des participants...

CLIQUEZ SUR LES VIGNETTES POUR UNE IMAGE AGRANDIE...
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Photos de Djipègue, Bob cramer, Philou et Jean-Claude.

Petit résumé du Djipègue...

Après des adieux larmoyants aux miens (enfin seul le poisson rouge a versé une larme), je me suis lancé dans la grande aventure, en partance vers le Nord … des Yvelines, muni de :
- un sac de voyage contenant suffisamment de caleçons de rechange pour moi et Foulagom,
- d’un appareil de photo de marque japonaise (comme quoi ce n’est pas parce qu’il sont nuls en voiture que je déteste les produits du soleil levant)
- De monnaies locales (en l’occurrence des euros belges)
- Du numéro de mobile de Siffert pour le tenir désinformé
- d’un convertisseur XLR / Ménagère de ma fabrication dont la forme évoquait plutôt un produit de l’autre activité de SWG.
- d’une poignée Parma « Loopsisée » à 25 et 35 ohms
- d’une brosse à dent et à résistance
- d’une foi inébranlable dans l’exactitude des renseignements glanés sur le web concernant l’adresse de Jean-Luc,
- d’un exemplaire de l’Equipe magazine du lendemain (si, si)
- d’un ticket de transport STIF dûment poinçonné
- d’un dictionnaire franco-bruxellois accompagné d’un convertisseur septante et nonante.
- Et d’une envie de pisser liée à une vessie rebelle

Mon arrivée chez Jean-Luc fut saluée par le passage simultanée d’un train de banlieue, d’un RER A et d’un train de marchandise de part et d’autre de la maison. Sitôt arrivée, sitôt mis dans l’ambiance : descente au garage (après un arrêt au toilettes) et test de la voiture pour la course. Première impression : voiture agréable à piloter, silencieuse et équilibrée (mais il ne faut pas se fier à sa première impression aurait dit Manet).

Bref, on enchaîne les tours pour se préparer, mais surtout pour s’amuser. Jean-Luc, en connaisseur de son terrain me tourne autour d’un peu trop près. Heureusement que sa femme intervient pour me rassurer.

Quelques minutes plus tard nos amis Chicane et l’Invisible nous rejoignent avec un break chargé comme une voiture d’Immi (contre son) gré repartant au pays au mois d’août sur l’autoroute A9. Mais qu’ont-ils pris pour être chargé comme cela :
- La collection complète des caleçons inutilisés de Foulagom ?
- L’équivalent en bouteille de Chablis de ce que les belges descendront en Jupiter ?
- Tous les aimants retirés des voitures par les membres de Folm ?
- Les devoirs de vacances de l’Invisible ?
- Le stock d’invendus du livre de Claire Chazal sur Balladur ?
- Un bœuf bourguignon entier et non découpé ?
- Une poutre de Grosbig ?
- Une tour Effel en kit ?
- Ou tout cela à la fois …

La vérité est bien pire, mais cela viendra plus tard.

Heureux de nous retrouver, et constatant notre maigreur affligeante, (Je parle de Chicane et de moi), Jean-Luc décide de convertir une pizza anémique en confit (d’un voisin) roboratif.

Chicane semble préoccupé, nous ne tardons pas à connaître les raisons de son inquiétude. Le passage de 9 à 8 concurrents le force à revoir sa stratégie, le briefing d’avant course s’annonce tendu.

Le confit avalé (enfin sauf celui de l’Invisible sur lequel j’ai lorgné mais visiblement pas de manière assez insistante qui termine aux chats et aux corbeaux), nous retournons à nos essais. On essaye tout ce qui nous tombe sous la main, et chez Jean-Luc, cela ne manque pas… Bref l’heure tourne vite, le levé du matin est prévu à 6 heures et l’on décide de gagner le grenier aménagé à notre attention. Notre dernier vrai matelas avant la course, il s’agit d’en profiter.
Une fois la lumière éteinte et le « bonne nuit » de politesse échangé, d’un seul coup, alors que le sommeil me gagne, Chicane interrompt le silence nocturne laissé par le dernier train passé quelques secondes plus tôt par un « Rhô, il va falloir que je refasse la stratégie, c’est quand même agaçant ces changements de dernière minute, ça fout toutes mes prévisions en l’air »
« Bonne nuit Chicane »

Le lendemain matin, nous constatons l’ampleur du problème, alors que je tète discrètement la bouteille de Cahors du dîner du soir avant mon café (comme cela, le café but ensuite cachera l’haleine vinasseuse), Chicane en profite pour s’éclipser discrètement dans le but de transférer son chargement vers l’Espace de Jean-Luc.

Je termine d’abuser de notre ami Jean-Luc (de sa gentillesse bande de dépravé) en avalant une dernière tartine de confiture maison et sors dans le jardin.

Ah oui, ah oui… Nous sommes tous à l’extérieur, Yop n’est pas arrivé, Bob sera récupéré plus tard et l’Espace est déjà plein ! Et Jean-Luc qui nous avait demandé de voyager « léger ».

Décidé à ne pas abandonner mon seul tee-shirt de remplacement ni un objectif de mon Minolta, je me précipite pour occuper le peu d’Espace restant !

Bref, Le Chicane a emporté de quoi survivre à une attaque nucléaire, un Tsunami et une époque de glaciation et tout cela simultanément.
Outre un appareillage électrique auquel il ne manque qu’un groupe électrogène, on retrouve de quoi :
- se nourrir (enfin, ne pas mourir de faim serait plus approprié concernant la production de la maison Maggi sous la marque « Bolino ») mais avec une bouilloire maison, la prochaine fois, on aura droit à une machine à expresso de bar !
- se laver (un pack de 6 bouteilles d’eau de source, cela permet à un humanoïde moyen de se laver pendant 15 jours),
- dormir (matelas gonflable ultra confort et son gonfleur à peine plus petit qu’un compresseur à bouteilles de plongée)
- bricoler (à rendre jaloux Grosbig ; je n’ai pas repéré d’évacuateur d’air, mais je ne suis sûr de rien quant à son absence)
- surfer et s’informer grâce à un ordinateur néanmoins portable (on a échappé à l’écran 19’)
- Se sentir en sécurité (Canot gonflable 6 places, parachute, Equipement médical d’hôpital de campagne, Alarme de piscine, téléphone satellite, aspi venin, casque de chantier, caisse de dynamites, opinel avec tire-bouchon dans le manche, gilet réfléchissant (lot de 120), triangle de sécurité (Pack de 7) préservatifs XXL (boites de 100))
- Jouer avec une cinquantaine de voitures de slot (on ne sait jamais) et une petite dizaine de Parma (authentique)
Le simple nécessaire quoi !!!

L’arrivée de Yop, (qui en profite pour son premier jeu de mot de la journée que je n’ai pas retenu – les autres non plus d’ailleurs -) dans les temps nous permet de prendre la route à l’heure dite + 10’… Chicane est à nouveau inquiet pour le planning, quel sera notre retard pour se lancer sur la piste, aura-t-on le temps de tester plusieurs configuration, le passage de la douane se fera-t-il sans problème, le papier toilette sera-t-il à fleur, Bref, le Chicane doute !

Au passage nous récupérons Bob aisément reconnaissable à …. Sa casquette Carrera (qui a dit son C15 Peugeot décoration 905 sport !) sur l’aire de Vémars ou nous retrouvons le reste de l’équipe FOLM pour un petit déjeuner autoroutier (à peine 1 radar au guide poulaga).

Grâce au chausse-pied que Chicane a pris soin d’emporter (avec 5 cirages différents dont un incolore, trois brosses dont une à poils durs, et deux chiffons qui ne pluchent pas, toujours bien équipé le chicane, il a du faire des camps scouts de 3 mois en forêt guyannaise pour prévoir autant de chose), nous parvenons à entrer dans l’Espace. La dernière fois que j’ai été aussi tassé c’était quand on avait essayé de monter à 3 dans un cockpit de F1 !

Une fois nous six encastrés dans le suppositoire à roulette, nous parvenons à Bruxelles dans une saine ambiance de camaraderie et les questions existentielles de Chicane sur le planning !

L’arrivée au Brussels Scalextric Club se fait sans problème et nous commençons à décharger notre équipement et celui de Chicane… 20 minutes et 45 voyages plus tard, nous sommes à pied d’œuvre devant une magnifique piste Scalextric sport, lisse comme un cul de babouin et gondolé comme Yop qui vient de faire un jeu de mot qu’il ne connaissait pas.

Toute l’équipe est à pied d’œuvre et nos amis belges, grands seigneurs et le sourire en coin, nous laisse découvrir les pièges de leur piste.

Le narrateur ne reculant devant aucune difficulté, décide d’effectuer un tour de piste style « Sébastien Bourdais pour TF1 juste avant et juste après la pub pour Bolino »

Accélération au départ pus freinage pour aborder les « S » du « bar à Leffe » sur un filet de gaz, petite ligne droite avant le virage du soleil couchant qui ouvre vers la première ligne droite ramenant les voitures vers les postes de pilotage. Double gauche dit « du ramasseur solitaire » avant passage sous le pont et freinage en aveugle pour un simple droite dit « il fallait par freiner sous le pont », une courte courbe à droite dite « si tu continues tout droit, tu prends l’escalier jusqu’au rez-de-chaussée » commande le passage du grand gauche dit « du retour vers le bar ». Suit une ligne droite coupé en plein milieu d’une double chicane dite « pour faire suer les invités » avant un nouveau gauche positionnant la voiture pour la montée du pont. Quant on monte, il faut descendre, et on rejoint la grande courbe qui ouvre vers la ligne droite des postes de pilotage dont un esprit malin a trouvé l’idée bonne d’ajouter un double S en plein virage. Les habitués y prennent de la vitesse, les invités engueulent les ramasseurs !
La grande ligne droite dite « je m’essuie la sueur et je me gratte le nez » est prise à fond et le premier qui freine en bout de ligne droite est un pleutre…. Surtout sur la piste blanche intérieure dont le poste de pilotage est situé en début de ligne droite (myope s’abstenir).
Un triple bourbon, pardon un triple droite nous ramène vers la ligne de départ.
Bon c’est un circuit très technique où le rythme du doigt sur la gachette est fondamental. Les meilleurs y tournent en 13’, les touristes franchouillards en 15’ voir en 16’ sur certaines pistes (voire 17 quand ils sont noir… sur la piste noir je voulais dire).

Remarquons quelque chose d’étonnant… Plus un belge boit de bière, plus il tourne vite et pète la forme, plus un français boit de bière, plus il sort et plus il s’endort vite… Conclusion : pour la prochaine édition, il faut s’entraîner sur la piste et à boire des Leffe. Pour la piste c’est compliqué, mais pour les Leffe, je me suis fait livrer un appareil à pression (tien ça c’est une idée pour Chicane pour le prochain déplacement : il nous manquait un système de bière pression … faudra y penser, on arrivera bien à le caler quelque part).

Pour l’équipe Panam le contrôle technique se passe bien (admiration des contrôleurs techniques devant l’ingéniosité de Jean-Claude pour le système d’éclairage). D’ailleurs c’est ce qui a le mieux marché sur la voiture, si on avait été jugé uniquement sur l’éclairage on aurait été sur le podium….

Le contrôle technique passé, nous laissons Chicane qui continue sa préparation (les 10’ perdus au départ….) avec l’Invisible et leurs provisions de Bolino. Folm, en bon camarade et en taulier respectueux de ses habitués décide de ne pas fermer et de lui tenir compagnie avec un plat de lasagne local. Pendant ce temps, les 8 autres énergumènes s’apprêtent à tâter des mets locaux.

Bien qu’en région flamande, notre français est bien compris et nous voilà devant une nouvelle bière que la serveuse nous sert avec des « s’il vous plait » à répétition pour chaque chose qu’elle nous donne : la carte, la bière, les couverts, le plat, et son plus beau sourire lorsque YOP se lance dans une tirade digne de rentrer dans les annales de la « french touch » lui rappelant à quel point il avait été ému de l’avoir pour serveuse deux ans auparavant et combien cette nouvelle rencontre lui faisait dresser le sourcil sur le front.

Ben oui au dire même de Yop ; à notre âge il n’y a plus que les sourcils que se dressent aussi facilement, je lui laisse l’entière responsabilité de cette réflexion, n’ayant quant à moi aucun problème spécifique d’érection capillaire.

Bref chacun prend des frites pour éponger sa bière et quelques autres aliments au choix de chacun. Une pensée émue pour Nicolaslot à la vue de rognons rosées comme une voiture de Clochette en pleine lumière.

Le retour se fait 10’ avant les essais libres, l’ambiance est de plus en plus conviviale et Jean-Luc manque de planter l’Espace à l’entrée du parking du BSC. IL faut dire que le lieu est totalement champestre, look d’usine à machine outils, palettes de papier d’emballage juste devant la porte, voie ferrée sous les fenêtres, pont d’autoroute à 100m.
Ben malgré tout cela, qu’est-ce que l’on ne donnerait pas pour disposer aussi prêt de Paris, d’un local aussi grand et agréable à sloter !

10’ avant les essais libres, cela laisse le temps de prendre une Jupiter au bar (ça change de la Leffe).

Pierre se chauffe au micro qu’il ne lâchera que très peu tout au long de la course. La bonne ambiance qui a régné tout le week-end lui doit beaucoup.

5’ avant le départ, nous établissons notre stratégie de course pour contrer celle de Chicane en espérant bénéficier de l’effet de surprise. Chacun participe à sa façon à notre briefing, Yop fait du charme à la jeune fille du bar, Jean-Claude continue à tourner avec une Clio, Phillou et moi-même comparons nos gros appareils photos et Jean-Luc range ses outils. A quelques secondes du départ, nous décidons, dans un éclair que je qualifierais de flash TTL réglé au 1/500e , de passer à tour de rôle en commençant par le … 3ème de la liste et de changer régulièrement sans trop préciser la durée des relais pour continuer à surprendre l'adversaire.

Cette prise de risque audacieuse se traduit par « ça passe ou ça casse »… Ben ce n’est pas passé et ça a beaucoup cassé !

A 16 heures pétantes, la course est lancée, nos amis suisses auraient été heureux de cette précision toute helvétique, mais 18 heures cela serait passé trop vite.

Le départ se passe bien et le rookie Philou se débrouille très bien. Je peux donc entamer ma deuxième Jupiter de l’après-midi sur des bases solides.

Très vite 3 groupes se forment :
Tout d’abord 4 équipes belges aux doux noms évocateurs tels que « Black Moumoute » dont les caractéristiques principales sont :
- Une chemise sponsorisée par Leffe et par les appareils photos Niintelligent
- Un Djean assorti du plus bel effet
- Une GT40 Fly violette qui semblait survoler la piste plus proche du comportement d’une Mosler que d’une résine PSK
- Des copines … comment dire …... Belges, voilà !
- …

Une autre équipe belge qui nous faisait croire qu’une équipe français aurait pu être 4ème (cela durera moins d’une heure) accompagne les 2 équipes Folm et Panam.

Et enfin, une dernière équipe novice et locale accablée par les problèmes qui nous permit dès le début de ne pas envisager la dernière place : synonyme de retour la Parma entre les jambes et le rouge à la calandre.

Donc, notre stratégie semble porter ses fruits jusqu’au moment où à la suite d’une raquette appuyée, notre 512 (de collection) refusa obstinément de repartir. Un petit passage par les stands et le diagnostic est sans appel : fil de guide désolidarisé ! Deux solutions s’offrent alors à nous : la bonne et la mauvaise.
- La bonne tout d’abord : Opérer la bête à moteur ouvert, écarter les entrailles vider les boyaux et ressouder des fils de longueur suffisante pour repartir avec un pontage tout neuf
- La mauvaise ensuite : bidouiller tel le médecin du club (en fait un rebouteux avec un stéthoscope) de Penajouir-sur-Thérèse (divison d’honneur) pratiquant un massage sur une fracture ouverte du tibia de l’avant-centre de l’équipe (fraiseur-tourneur dans le civil et n’hésitant pas à tourner la fraise de la boulangère pendant que son mari tourne les fraisiers) en espérant qu’il puisse encore marquer un but pour rattraper le 5-0 en cours à 15’ de la fin du match.

Chicane nous faisant la tête depuis que nous ayons décidé changé de stratégie sans respecter la procédure qui consiste à déposer une enveloppe scellée contenant le planning de rotation devant huissier dûment assermenté moins de 15’ avant le lancement de la procédure de départ, Bob étant affairé au ramassage essentiellement des voitures des 3 dernières équipes, nous ne pouvions bénéficier des conseils d’experts assermentés.

Nous prîmes donc la mauvaise décision, mais heureusement la bonne pince pour récupérer l’œillet disparu dans le châssis pour le faire rentrer dans son orifice. Habitué à faire se reproduire les souris blanches dont le mâle à des tendances masochistes, je me dénonçais pour cette opération et je parviens à introduire le dit œillet en serrant fortement l’œilleton qui contrairement à ma souris mâle ne se durcit pas plus.

Bref toute cette histoire nous fit perdre 10 tours sur nos principaux amis mais néanmoins adversaires. De leur coté tout allé bien, L’invisible et Chicane digéraient leur Bolino en attendant celui du soir, Folm digérait ses lasagnes en attendant les spaghettis du soir et Bob digérait son voyage à l’arrière de l’Espace en attendant une blague de Foulagom qui ne saurait tardé.

Les conséquences de notre décision se répétèrent à 3 reprises avant que nous changions de tactique. Je parle bien de tactique sachant que notre stratégie portait tous ses fruits, le bar réalisant, grâce à nous (enfin grâce à moi, je sais me dévouer dans les moments importants), un chiffre d’affaires de 10% inférieur chacune des autres équipes locales !

Bref de 10 tours perdus en 10 tours perdus, le moral baissant et la tension nous devenant moins favorable sur la piste orange, il fut décider d’opérer la bête. A cet instant, tel le vétérinaire hippique, j’étais prêt à achever les souffrances de notre coursier à l’aide d’un coup de bintje bien senti. Mais bon, nous avons tous un cœur, et Jean-Claude s’attacha à sauver ce qui pouvait l’être !

Avec 150 tours de retard à mi-course sur nos prétendus amis mais surtout concurrents, il serait difficile de faire des miracles. Les Belges devant eux ayant fini de faire semblant de pouvoir être rattrapé, la lutte des 4 premiers prenait, avec juste raison, le pas sur nos péripéties.

Le soleil ayant du mal à se coucher en cette période proche de l’équinoxe d’été, il fut décidé de reporter la période nocturne à la nuit tombée. On ne peut que saluer à cette occasion, la logique de bon sens de la Direction de course consistant à ne pas essayer d’imposer au soleil son heure de coucher alors que simultanément Chicane imposait à l’Invisible de manger un « Bolino » (Moi je dis « bourreau d’enfant », on a déchu des parents de leur droits pour moins que cela, Je serai l’Invisible j’exigerai en compensation un repas chez TroisGros, Roanne, c’est pas si loin non ? Bon en même temps, l’Invisible picore dans son assiette, faudrait pas gâcher non plus… Je prendrai les restes !)

Mes lasagnes avalées, aidées en cela par Zeus, pardon Jupiter, je me préparais à mon deuxième relais en phase nocturne. Et bien heureusement qu’ils ont éteint la lumière, je pilote au jugé et en définitive je sors moins souvent qu’à mon tour. Seul les cris évocateurs d’animaux quadrumanes des anciennes colonies de nos hôtes, provoqués par l’abus de café d’un des concurrents, trouble la quiétude vespérale.

Après un relais sans relief et avec beaucoup de sorties, je décide d’abandonner provisoirement le champ de bataille à mes coéquipiers à ceux qui furent nos amis et sont maintenant des adversaires. L’Espace, vidé de son contenu Chicanesque, offre une position de repos, certes mois confortable que le matelas gonflable sur lequel dort l’Invisible, mais suffisante pour cuver en toute tranquillité.

Rhonn… Rhon… L’arrivée simultanée de Yop, de Jean-Luc et de leurs chaussettes me chasse de l’Espace pour aller prendre mon tour au poste de ramasseur solitaire. A ce poste je m’aperçois qu’il est tout à fait possible de ramasser en dormant, Folm m’en est témoin. Je me disais bien que mon entraînement de trajet d’autoroute de nuit entre Paris et Marseille avec des périodes de sommeil entre Auxerre et Dijon ou Valence et Avignon Sud me permettrait un tel exploit. Pour tout dire, je ne souviens pas d’avoir replacé de voiture sur la piste. C’est dire, je ne me souviens pas du péage de Montélimar non plus, donc tout va bien.

Bon il va falloir que je me prépare à remplacer Phillou, pour mon 3ème et dernier relais. J’avale un demi-litre de café, j’hésite une minute et décide qu’une bière à 5 heures du matin ce ne serait pas raisonnable, je vais donc boire en douce le reste de flasque de Lagavulin 16 ans que j’avais eu soin de mettre dans ma boîte à outils en cas d’urgence, Quand je dis le reste la flasque était pleine avant son ouverture et vide à sa fermeture, et pas une goutte sur mon tee-shirt, je deviens un vrai pro.

Il n’y pas que Chicane qui prévoit tout dans un déplacement, je aussi Hips !

Mon taux d’alcoolémie étant descendu en dessous du seuil de comas éthylique atteint par la plupart des adolescents en 4’27" dans une beuverie dont ils sont maintenant adeptes…, je me permets de tourner correctement et de montrer – en tout bien tout honneur – mon pot d’échappement à l’Invisible à qui, à l’issue d’une lutte dantesque, je réussis à reprendre 1 tour sur les 145 de retard que nous avons sur l’équipe Folm – je sais J’ai trop lu Prout et j’oublie des « s » dans les accords- … Ah on ne dira jamais assez les méfaits collatéraux de la consommation du « Bolino ». Ma fierté n’est rien en regard de celle de Chicane qui a noté plus de 15’ sans sortie de son fils dans un relais de nuit !
Sans exagérer, s’il continue comme cela le Jérémie, on ne va pas arriver à suivre et on ne verra même plus ces pots d’échappement… Chicane n’a pas fini d’être fier !

Bon revenons à la course – à défaut de moutons, qui sont plutôt rares en Flandres, et à ce moment du récit, narrateur amateur motivé mais déstructuré je m’aperçois que j’ai omis quelques événements importants. Je décide donc, car tel est mon bon plaisir de faire un « Flash-back » pour les cinéphiles.

Tout d’abord, notre ami Foulagom - je dis notre parce que je suis partageur, mais bon j’en ferai bien aussi Mon Ami, et ceci est valable pour les 8 autres impétrants et assujettis sociaux dont je ne me lasse pas d’exposer les défauts sans parler de leurs grandes, que dis-je grandes, immenses, qualités (Et vlan ! 8 amis reconnaissants d’un seul coup ! Mieux que la fois où j’ai attrapé 3 « mulets » en même temps sur une palangrotte avec 2 hameçons dont un sans appâts)
Maintenant que je me suis fais de nouveaux amis où consolider une amitié , sans passer par un site d’enchère sur le Web en proposant un vulgaire bout de plastique de plastique industriel à un prix frisant le salaire moyen mensuel d’un cadre supérieur plutôt dans le haut de la fourchette, je peux donc continuer mon histoire.

Quelques temps avant le départ, Foulagom venu avec des biscuits de la maison PSK (des purs résines naturelles, sans colorants chimiques ni graisses synthétiques) nous présentent une Aston bleu de toute beauté, une Jidé de la même teinte… Tiens Foulag’ tu as une remise sur le bleu ciel…), et une Willy’s 1944’libératrice qui aura l’insigne honneur de pouvoir tourner sur la piste de compétition, alors qu’elle était fermée à l’issue des essais libres.
Si l’Aston rejoint rapidement son duvet, la Jidé se rend sur la piste de rallye du BSC.
Ah la piste rallye du BSC… Visuellement magnifique, mais alors… Pour arriver à faire un tour ! Une question pour nos amis belges, il faut boire combien de Leffe pour arriver à faire un tour ? 4 Leffe et 2 Jupiler (« L » pour Guenon31… Gnârk !) ! Bon on verra cela la prochaine fois.
Néanmoins ce fût un vrai plaisir de photographier cette petite Jidé sur les routes neigeuses.

Voilà fin de l’éclair en retour ….

Et la course dans tout cela…

Ben on termine sur le poste de ramassage bleu… à coté du bar… Un avantage certain, mais à 6 heures du matin, c’est dur d’assurer sur la bière, on passe au café !
Comme nous n’avons plus de problème avec la longueur des fils électrique, Jean-Claude décide de casser le châssis pour vérifier la capacité de l’équipe technique à le changer sans perdre une seule place. Et nous gagnons l’enjeu, trop fort les Panam’s boy… Nous sommes prêts pour les prochaines 18 heures du BSC North Trophy, et pourquoi pas les 24 heures … C’est à notre portée les gars ! Non ?

Dans l’équipe Panam tout le monde a fait 3 relais ce qui fait 17 heures 30 minutes (soit 3 heures 30 par pilote… Enfin pilote… faut le dire vite … pote serait plus approprié, et 3 heures 30, sans compter les arrêts aux stands!), la dernière demi-heure est réalisée par Philou qui, outre d’être un novice sur ce type de course, est loin d’être le plus mauvais index de l’équipe… y compris pour les photos !)

Contrairement à un narrateur, buveur excessif de houblon, et conduisant le coude à la portière, Philou ne s’en laisse pas compter… Je suis prêt à parier que si la course avait duré 18 heures de plus…. On aurait été en retard au boulot lundi matin !

Bon la course se termine, les premiers continuent à lutter pour des places, moi, je lutte contre le sommeil… Chacun son combat !

A ce niveau de mon récit, j’ai le choix de conclure sur la remise des prix et les remerciements sur la réelle gentillesse de nos hôtes… Mais je pourrais vous parler aussi de notre virée à Bruxelles, l’achat de chocolats, le choix du restaurant, comment sortir de Bruxelles avec le GPS de Jean-Luc...

Donc pour ceux qui veulent que je m’arrête là : 36 15 « Stop Billevesées » (5€ l’appel + 3,5€ la seconde) ou 36 15 « Continue Coquecigrues » (5€ l’appel + 3,5 € la seconde) ou par SMS au 51 51 51 51 51 Code « Pastis » (245 € l’appel + coût du SMS) où sur le site www.JeSuisPretAFinancerLeDeplacementDeDjipegueaBruxelles.Folm
Arrêt du vote demain à l’heure que je décide, ou alors samedi ou peut-être dimanche, cela dépend de vous (et un peu de moi aussi faut pas exagérer) !

A la demande caporale – lieutenante aurait mal sonnée, sous commandante aurait fait trop mexicaine, colonelle trop ambitieuse et générale trop prétentieuse – et ne pouvant tenir mon clavier, je me vois dans la nécessité de conter la partie sombre de notre aventure. Celle, où, perdue dans une contrée étrangère et parfois hostile, peuplée de ConKodack (brevet Frédéric Dard) mitraillant de leur téléphone portable à la définition approximative, un pauvre garçon de bronze urinant au dos du con : joint, pagnon, patriote, sot mateur, cul bain, tracté (au choix, rayez la mention utile), nous avons dû chercher 1) à nous nous sustenter, 2) à rejoindre notre pays.

Commençons donc par la recherche de lieu de stationnement susceptible d’accueillir un Espace et son chargement sans risque pour un éventuel délinquant juvénile ou basané ou bon aryen cela ne change rien au problème.
Je dis cela, car, si un vol à la roulotte avait été commis sur notre véhicule, la consommation de denrées alimentaires Chicanesques aurait pu entraîner une plainte en bonne et due forme qui nous aurait entrainés dans des geôles pour tentative d’empoisonnement. Je vais vous faire une confidence : consommer le régime de Chicane rend Invisible… Si, si c’est prouvé… 10 ans et Poufff on ne voit plus que votre anus… Oups pardon… votre pot d’échappement. Bon le régime demande encore une petite mise au point…

Une fois les véhicules en lieu sûr, il fût décidé d’un commun accord de se rendre en troupeau auprès du garçon cité précédemment. Bruxelles est une très belle ville, Le Parlement faisant face au palais royal, à distance suffisamment raisonnable, permet de se promener dans un magnifique jardin ; des galeries commerciales intéressantes et il existe l’équivalent de notre Tour Effel avec l’Atomnium. Il y a aussi de jolies places autour de la Comédie… Et puis le pisseur international … Symbole d’une hypertrophie de la prostate, d’une incontinence continuelle, d’un exhibitionnisme impunie, d’une consommation excessive de Leffe ou de Jupiler (Hé Gégé, j’apprends vite, tu as vu ? Mais Word pas, il me souligne en rouge Jupiler et pas Jupiter, Microsoft serait-il plus mythologique qu’houblonique !)

Bref, la visite de Bruxelles fût touristiques et chocolatière. Le choix pris du temps et l’emballage dans une boîte (coucou Nicolaslot, si tu me lis, car tu me lis : comment tu vas ? Toujours en forme ? Pas de problème d’emballage ? Mon fils aussi emballe en ce moment mais je ne crois pas que ce soit des petites voitures….), l’emballage dans une boîte, disais-je, des pralinés, fondants, macarons, truffes dura des minutes qui ont parues des heures … Folm le fit discrètement et rapidement, les autres y prirent un plaisir réellement temporel vu le temps d’attente de ceux qui, indifférents aux cadeaux de retour, s’impatientaient. Jean-Claude gagna la palme me permettant d’attraper un coup de soleil belge moitié wallon moitié flamand.

Bref, après l’acquisition de spécialités que l’on peut trouver dans toute grande et moyenne surface locale mais sans la valeur de souvenir. .. Je vous ai apporté des bonbons parce que les bonbons s’est bon … Et les fleurs c’est périssable ….
Comme dans toute équipée en groupe de plus de 2 personnes, le moment de vérité arrive avec le choix du restaurant…
Dans ce cas, il faut laisser l’esprit fort décider… Toute proposition honnête étant rejetée sous les prétextes fallacieux suivants :
- la frite n’est passez longue
- la moule de la serveuse ne semble pas fraîche (il y en a qui ne savent pas ce qui est bon !)
- les prix sont prohibitifs (de toute façon un prix est toujours prohibitif comme un français est râleur et un africain à un gros gourdin pour assommer les phacochères)
- ya pas un table pour 10
- Ya pas assez de choix
- C’est un piège à touristes
- Ya pas de plat à moins de 8,43 € TTC
- Ils ne prennent pas les tickets restaurants
-…

Moyennant quoi on atterrit dans un restaurant de la rue des bouchers surnommés par les bruxellois la rue des pièges à touristes…
Bon, l’objectif étant de se nourrir, on arrive à un repas promis (tout autre préfixe serait mal venu). Je ne raconterai pas le repas ou bâfre joyeusement notre petite équipe avant de prendre le chemin du retour vers la France et puis il y a des photos qui trainent à droite et à gauche.

A la sortie du parking, Jean-Luc à l’idée géniale de brancher le GPS option France métropolitaine. Immédiatement, l’assistant électronique nous situe aux environs de Cergy Pontoise et nous enjoint de rejoindre l’A15 pour atteindre Conflans Saint Honorine. En conséquence, le temps passé à sortir de Bruxelles est à peine moins important que le temps de parcourir l’A86 un vendredi soir, et nous retrouvons la direction de Courtrai (Kortrijk en parlé local) synonyme de retour dans notre douce France (ce n’est pas moi qui le dit, c’est Ingrid B à qui on peut faire confiance concernant l’absence de douceur !).

Le trajet retour se passe alors sans incident notable, d’autant plus que dormant tout le long du trajet, je serai dans l’incapacité de citer même un bon de mot de Yop…

Comme à l’aller l’aire de Veimars (Ouest dans ce cas) nous oblige à nous séparer de nos compagnons de voyage et des caisses d’accessoires indispensables de Chicane. L’Espace semble bien vide à ce moment.
Bon on passera sur mon retour en RER A qui ne présente que l’intérêt d’avoir pu profiter des superbes jambes de la jeune femme qui me faisait face (désolé pas de photos, je n’ai envie de me faire accuser de voyeurisme !)

Finalement ce fut un week-end mémorable, avec des camarades agréables et des hôtes qui ont réussit à supporter une bande 10 français, franchouillards, fiers d’être français, sûr de leur supériorité franc, détenteur de la francicitude (oui je sais cela n’existe pas, mais je fais ce que je veux) … Bref des étrangers moins buvables que la Leffe ou la Jupiler…

Merci encore à nos hôtes, merci de votre invitation et de votre gentillesse et merci d’avoir eu un bar toujours bien pourvu !

On reviendra, plus fort, plus gros (sauf Jean-Luc, chez lui c’est génétique) – ben oui plus grand à notre âge c’est difficile – et avec des ambitions plus fortes _ En ce qui me concerne je prévois 2 Leffe et une Jupiler de plus en 18 heures sacré "challenge".

Merci amis belges et français. A l’an prochain.

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Sentiments...

en tous cas, sympa ces petits souvenirs, en plus le plaisir était vraiment au rendez-vous grâces aux ingrédients:
-une bonne bande de copains
-une voiture au top, très agréable à faire rouler, qui pardonne beaucoup et qui donne envie de s'appliquer et de pousser les limites du chrono, merci Chicane Okay
- Un invisible au Top, un maitre de la piste, de jour comme de nuit capable de tenir en respect les autres en une trentaine de tours sans sortir et de passer devant.... Shocked total respect ...voilà, c'est à peu prêt tout....

A oui.... il faut aussi un bel évènement comme cette course de 18h organisée par des gens fort sympathiques, j'en profite pour saluer ici Scalexrévolution qui a gagner le concours d'élégance avec sa voiture "fromage"

FOULAGOM

Une pensée pour Chicane et L'invisible, , qui avaient encore et encore de la route à faire.
Bravo à l'exellent résultat obtenu par la Team Folm.
Même si il a été obtenu dans des conditions douteuses :
On a découvert le secret de la potion magique de l'Invisible, c'est proprement inhumain, même les petites gymnastes Chinois n'ont pas à endurer ce genre d'preuves.
On va vous mettre les photos, car , sinon , personne ne nous croira.

JEAN-LUC

Après une bonne nuit de sommeil, les idées sont un peu plus claires et on arrive à mieux apprécier ce genre de week-end...
Alors bien sur, les remerciements vont pleuvoir...
Tout d'abord pour Chicane qui nous a préparer une voiture d'enfer...nous n'avons plus qu'à essayer de piloter comme les belges soit gagner entre 1 et 2 secondes au tour...
Pour l'Invisible qui nous a fait des segments de toute beauté...d'ailleurs je pense me mettre au Bolino...
Pour Foulagom qui a animé l'atelier scratch de la salle mais aussi la rubrique "blagues en tous genre"...des photos seront bientôt dispos...
Bob Cramer pour ses précieux conseils de pilotage, sa connaissance du slot et son flegme légendaire...
Jean-Luc pour son rôle de coordinateur général des 2 Teams, grand argentier du Planet Folm et conducteur de car fallait voir le chargement de son Espace)...
Philou pour sa bonne humeur et ses grandes discussions en face d'un Foulagom endormi...sans oublier ses clichés à venir...
Yop pour ses histoires pinces sans rire, grand rabatteur lors des achats à Bruxelles et couvre chef au resto...
Djipègue pour ses photos à venir, sa faculté à dormir en bord de piste et ouvrir un oeil en cas de sortie pour ramasser...
Et Jean-Claude, mon chauffeur qui nous a fait des pontes à 2xx km/h sans se faire prendre avec des accélérations qui frisent l'irrationnel...
Et bien sur, toute l'équipe organisatrice du BSC, tout particulièrement Kevin pour ses conseils et sa sympathie ...soyez sur que nous reviendrons...
En gros, vivement la prochaine...

François


Ouf bien dormi ! Merci de m'avoir supporté pendant ce week-end, j'ai l'impression d'avoir confondu bans d'essais (torture de l'auto) avec compétition, la pauvre elle à vraiment souffert avec ma conduite pour le moins heurtée. Crying or Very sad
Je dis merci à la Folméquipée, bonne humeur, bref je suis près à remettre le couvert.
Pour les photos..... ce soir Arrow

Jean Claude


Merci aussi à tout le club de Bruxelles .
Merci à tout le monde des deux équipes.
Merci en particulier à Jean Luc pour avoir accepté la caisse de Bolino dans L'espace
Voilà , je crois que j'ai tout dit.
A non merci Au chocolatier de Bruxelles

L'INVISIBLE

Ce fut vraiment un super WE - un de plus.
Comme je préfère bricoler les autos, faire des briefings ou forcer L'Invisible à se gaver de Bolino, je ne vais pas vous en dire plus .... Les autres vont s'en charger.

Ah si , 2 grand bravo :

Tout d'abord pour Scalex révolution qui a été un guide pour nous tous durant cette course.
Toujours dispo, pas avare de conseil ... bref la version BSC de Bob Cramer

Et surtout un ENORME à Pierre

Pierre, c'est lui qui fait tourner la course.
D'une gentillesse à toute épreuve, dans patience sans limite avec toutes les questions du Chicane .

Pour ce qui ne le connaissent pas , Pierre, c'est une sorte de TzecKikiDavic ! Rien de plus

CHICANE

Que voulez vous que je réponde après une telle envolée lyrique..... Alors je me remets de mes larmes de rire en lisant le Djipègue dans le texte pour vous dire que: Oui, j'ai passé un super weekend avec une joyeuse bande d'allumés comme je n'en avait pas vu depuis fort longtemps et qui m'a donné envie des revoir le plus tôt possible. Oui, on aurait pu gagner si on avait été meilleurs que les Belges en préparation mais surtout en pilotage (Ça fait deux conditions pas faciles à réaliser, je le conçois au vu de nos diverses performances...) Cela dit, je me suis bien amusé tout le long de la couse sauf peut être lors de mon passage sous la piste ayant occasionné un arrêt un plus long que prévu pour réparation.. Pas content le chef Jean-Luc.. La voiture était pourtant jolie avec ses phares bien éclairés et montés très efficacement par Jean-Claude mais notre guide (Pas Jean-Luc, le guide de la voiture, bien sur !) n'a pas supporté nos façon brusque de piloter pour essayer de garder le contact avec une équipe Folm bien décidée à nous mettre minables (Ils y sont bien arrivés d'ailleurs, 239 tours et 9,8 kms dans la vue, c'est pas rien). D'ailleurs L'Invisible que je ne connaissais que par sa jolie 4cv m'a épaté par son pilotage et son calme au milieu de tous ces excités de la gâchette ! Il faudra revenir pour espérer progresser dans le classement. En tout cas merci à tous mes équipiers qui m'ont supportés sans désespérer et qui ont été très gentils avec moi qui débutais dans ce genre de course.
Merci à toute l'équipe du BSC de nous avoir accueilli si gentiment.
Merci à Foulagom qui à supporté sans broncher que je lui montre mes photos du Mans en essayant désespérément de ne pas s'endormir sur mon épaule dans la voiture de Jean-Claude pour le retour. Merci de m'avoir donné pleins de conseil sur la peinture et le montage de scratch. Haaaah , sa jeep est une merveille, et sa Jidé aussi, et son Aston, et.......... trop fort, Foulagom !
Merci à Jean-Claude pour le voyage dans son missile balistique pourtant siglé d'un losange bien connu, ils font dans la fusée chez Renault ? Alors une dernière fois, merci à tous ceux que je n'ai pas cités et avec qui j'ai partagé ces bon moment. Et bien sur une grand merci à Jean-Luc de m'avoir invité à cette fête.

PHILOU

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